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Musée d’Art Moderne de Troyes
mardi 28 novembre 2023
TroyesMuséeD’origine Franco-iranienne Parvine Curie, fille d’un pharmacien troyen, naît à Nancy en 1936.
C’est à Troyes, dans cette « ville de tours, de voûtes, de colonnes et de flèches », qu’elle passe son enfance. Elle en parcourt les rues, sensible déjà à la beauté des édifices qui l’entourent. Ce lien si vivant à l’architecture [1] demeure l’une des lignes directrices de l’ensemble de son œuvre.
Après ses études elle part visiter l’Europe et décide de s’installer à Barcelone en 1957 en découvrant l’art catalan. Elle pratique la sculpture en autodidacte, suivant les conseils du sculpteur Marcel Marti. En 1970 elle s’installe à Paris et présente au salon de la jeune sculpture l’œuvre "Première mère" qui va marquer le sculpteur François Stahly. Il l’invite à venir travailler à ses côtés à l’atelier collectif du Crestet (Vaucluse). Parvine y apprend les bases du métier, la taille du bois et de la pierre. Son œuvre au départ plus hiératique va ensuite évoluer vers un style plus dynamique. Ses sculptures, entre figures et architectures, et fortement inspirées des lieux qu’elle a visités, sont marquées par des lignes et des matériaux épurés et manifestent son désir constant de questionner l’espace et la lumière.
En 1984, Parvine Curie est choisie par l’État pour réaliser la porte du musée d’Art moderne de Troyes, qui vient tout juste d’ouvrir. Une rétrospective lui est alors dédiée et l’artiste fait une première donation d’œuvres à la ville. Près de quarante ans plus tard, elle témoigne à nouveau de son attachement au musée troyen : à l’occasion de sa rénovation, elle lui fait don de sept œuvres dont deux viennent enrichir le nouveau jardin de sculptures. C’est donc tout naturellement que la première grande exposition du musée rénové lui est consacrée, signant le retour de Parvine Curie à Troyes.
[1] qu’elle ouvre ensuite à bien d’autres influences, de l’art roman espagnol aux temples d’Asie ou aux pyramides d’Egypte
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