
Catastrophe en Champagne
Par
- Le dimanche 17 avril 2022 - 1057 lecteursTrès tôt ce matin, une catastrophe aérienne s’est produite au dessus de la plaine champenoise : une escadrille de cloches, de retour de Rome afin (…)
les histoires du Petit Marcel
vendredi 14 mai 2010
Histoires pour P’tits DoudousEn cette fin de mois d’août, les vacances se terminaient.
Le Petit Marcel était chez ses grands-parents.
Les journées étaient encore très ensoleillées et le petit garçon aimait se promener dans la campagne environnante.
Le village était perché sur une petite colline comme il en existe tant en cette région vallonnée et les collines ressemblaient à de grosses taupinières.
Le P’tit Marcel aimait les leçons de choses et, ayant écouté avec attention l’histoire des volcans d’Auvergne, était persuadé que toutes ces grosses collines verdoyantes étaient d’anciens volcans endormis qui allaient se réveiller un jour. Mais là n’est pas notre histoire.
Donc en ce jour de fin août, sa promenade l’avait mené jusqu’au chemin au dessus du petit ruisseau qui flâne dans la petite vallée. Tout le long du chemin de grands arbres étaient alignés et le P’tit Marcel se rendit directement vers le plus majestueux qui dominait tous les autres et semblait l’appeler.
C’était un noyer. En cette saison il était couvert de belles noix vertes qui semblaient dire : "Cueilles moi !..."
Le P’tit Marcel n’eut qu’à tendre le bras pour arracher celles qui étaient sur les basses branches et s’en remplir les poches.
S’installant, confortablement assis contre le tronc de l’arbre, il entreprit avec son petit canif rouge d’ouvrir les brous et de manger la chair blanche des noix toutes fraîches qu’il venait de cueillir tout en sculptant un bâton.
L’après midi se passa ainsi tranquillement à l’ombre du grand noyer.
De retour chez ses grands-parents, il se senti l’estomac un peu lourd… et n’eut pas très faim au repas du soir aussi, sur les conseils de sa grand-mère, il alla se coucher sans manger.
Le ventre tiraillé en tout sens, il ne parvint pas à s’endormir… au contraire peu de temps après il du de relever en toute hâte et se précipiter afin de ne pas vomir dans son lit…
Il fut ainsi malade toute la nuit…
Lorsqu’il se leva au petit matin, le visage pâle et les traits tirés, il n’en "menait pas large" et appréhendait le savon qu’allait lui passer son grand-père.
Tout penaud, il s’assit devant son bol sans appétit.
A sa surprise, son grand-père ne lui parla pas de ses "exploits" de la nuit passée.
Il compris qu’il n’avait pas besoin de savon. Sa gourmandise l’avait déjà bien puni en ayant été malade toute la nuit, et il se promit, à l’avenir, de ne plus se goinfrer comme il l’avait fait.
Troyes, le 27 septembre 2009
Très tôt ce matin, une catastrophe aérienne s’est produite au dessus de la plaine champenoise : une escadrille de cloches, de retour de Rome afin (…)
La vélovoie Paris-Prague, dans sa traversée du département de l’Aube, longe l’ancien canal de la Haute Seine, passe à Troyes, avant de se diriger (…)
Du bas du cou jusqu’en haut de l’épaule, son corps est marqué par une longue cicatrice, ce qui ne manque pas d’intriguer les P’tits Doudous. (…)
2014 - Petit matin blanc après une nuit froide. Quelques flocons flottent doucement avant de toucher le sol givré. J’ai le souvenir lointain (…)
Sur une étagère de la cabane au fond du jardin, une vieille boîte à chaussures intrigue le P’tit Doudou... Sans hésiter, le petit garçon, en se (…)
Après avoir écouté l’histoire du "Voleur d’escalier", les P’tits Doudous étaient restés "sur leur faim" : ils ne savaient toujours pas qui pouvait (…)
Avec l’automne vient le temps des histoires au coin du feu... Au milieu du Jardin des P’tits Doudous, il y a une maison… Pas une cabane comme (…)
Avant l’arrivée des catamarans à "grande vitesse", les liaisons entre les îles de l’archipel guadeloupéen se faisaient en prenant les bateaux qui (…)
Lorsqu’il était au lycée, c’était avant la "Révolution" … le P’tit Marcel aurait très bien pu vous compter l’histoire de l’internat… Non pas (…)
Penché sur sa gauche, le P’tit Marcel ne voyait que des dunes de sable qui se perdaient jusqu’au plus loin que son regard pouvait porter. Pas la (…)
Mai 68 était passé… Le P’tit Marcel n’en avait pas vu grand-chose… Dès les premiers signes de "troubles", le lycée avait fermé ses portes et le (…)
Sur la photo parue dans la presse locale, le P’tit Marcel ne regarde pas le photographe, il regarde ailleurs, un peu perdu à la recherche de … (…)