
à Travers la petite Lucarne
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les histoires du Petit Marcel
dimanche 9 janvier 2011
Histoires pour P’tits DoudousLes repas de famille…
Une tradition qui permettait de réunir autour de la table dominicale des grands parents toute la famille : parents, oncles, tantes et cousins/cousines…
Se retrouver avait du bon. Tout le monde était avenant : "Comment ça va ?... Et à l’école ?...Tu as des bonnes notes ?...
Le repas était traditionnel et copieux…mais long, trop long pour le Petit Marcel et ses cousins & cousines. Le défilé de nombreux plats : entrées froides puis chaudes, viandes et légumes variés, salades, fromages… s’éternisait jusqu’au dessert qui tardait à venir…
Aussi, dès que possible, le P’tit Marcel s’éclipsait avec les autres enfants pour prendre un peu l’air et quitter la salle à manger surchauffée.
Direction les rues du village et la ferme voisine qui présentaient bien plus d’attraits que les discussions de fin de repas entre oncles et tantes.
Une ferme offre tout ce qu’il faut pour attirer des enfants de la ville même si les origines de nos jeunes aventuriers étaient campagnardes. Grange, étable, écurie, poulailler,… avec leurs occupants étaient pour eux des terrains de jeux et d’explorations aux ressources inépuisables pour des jeunes à l’imagination débordante.
Une chose les attirait tout particulièrement : le toit d’un bâtiment agricole qui avait eu la bonne idée de descendre très bas au point de leur permettre, au mépris du danger de braver les interdits et d’y monter. De prendre de la hauteur et dominer toute la ferme et la campagne environnante…
Mais grimper sur les toits aurait été trop simple. Pour ajouter un peu de fantaisie à leurs aventures, un jour (ou plutôt un dimanche) l’un d’un eu l’idée de prendre avec lui un canard. Une fois arrivé au faîtage, il l’y dépose… Et que fit le canard, au lieu de les suivre et de redescendre tout simplement le long de la toiture ? Il s’élança du haut du toit et, après quelques coups d’ailes, plana jusqu’au sol.
Depuis, chaque fois que le P’tit Marcel et ses compagnons de jeux montaient sur la grange, ils prenaient avec eux quelques canards qu’ils lançaient, du haut du toit, dans le vide.
Et c’est ainsi que, dans le village, des canards qui n’auraient pas du voler parce qu’ils avaient eu les plumes du bout des ailes coupées, reprirent le chemin des airs…
Troyes, le 7 janvier 2011 - modifié le 23 janvier 2011
photo logo : Canard de Barbarie
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Messages
10 janvier 2011, 18:54, par michel
un grand plaisir de lire cette prose où chacun peut y trouver quelques moments vécus. Le mieux c’est que tu continues afin que ton imaginaire nous rappelle quelques moments de notre vraie vie.